Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Près de la retenue d’eau de Lanvian, observation du ciel à la recherche d’un goéland à ailes blanches. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : A la moindre alerte sur le fil Télégram, les cocheurs filent en vélo vers le lieux de la découverte. Les relations entre les îliens et les cocheurs ne sont pas toujours évidentes. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Sur l’île, tous les déplacements se font à vélo, et les cocheurs pressés les abandonnent au bord de la route le temps d’observer les oiseaux, ce qui à tendance à agacer certains îliens. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Cocheurs à la recherche d’un Pouillot de Schwarz observé au Lieu-dit « Ker Héré » Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : David (à droite) et son fils JB, le père a initié le fils à sa passion. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Stéphane, venu de St Etienne passer une semaine sur l’île avec deux amis. Il a pu étrenner son téléobjectif professionnel acheté au printemps. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Un roitelet huppé lors d’une séance de baguage par l’ANO (Association Naturaliste d’Ouessant) Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Sur le bateau qui fait la navette entre Le Conquet et Ouessant, les ornithologues nombreux et profitent déjà de la navigation pour observer les oiseaux marins. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Willy, ornithologue bénévole de L’ANO (Association Naturaliste d’Ouessant) participe au séances de bagage organisées par l’association. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Séance de baguage par l’ANO (Association Naturaliste d’Ouessant), dans les sac en tissu, des oiseaux attendent d’être bagués et relachés. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : L’ANO (Association Naturaliste d’Ouessant) profite de l’affluence d’ornithologues bénévoles pour effectuer des bagages d’oiseaux. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : À la basse saison les moutons sont en liberté sur l’île, ils se promène en troupeaux, comme les cocheurs. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Cocheurs à la recherche d’un Pouillot de Schwarz observé au Lieu-dit « Ker Héré » Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Blaise passe une partie de son temps à silloner l’île et chercher dans les jardins des particulier la présence d’oiseaux rares. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Un des nombreux jardins de l’île, les oiseaux sont souvent repérés chez les particuliers, la présence d’oiseaux locaux autochtones attire souvent les ceux qui sont un peu perdus. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Nuée d’oiseaux sur une maison aux abord du phare du Créac’h. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Blaise Raymond, jeune cocheur. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Jumelles où des bagues de grand oiseaux sont accrochées comme des trophées. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Pendant un rassemblement de cocheurs à la recherche d’un pipit de Godlewski, un homme ramasse son fouin en grognant. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Près de la retenue d’eau de Lanvian, observation du ciel à la recherche d’un goéland à ailes blanches. Ile de Ouessant, le 16 17 18 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Le guide Ornitho est la bible des cocheurs, en version papier ou numérique, ils en sont tous équipés. Ile de Ouessant, le vendredi 16 Octobre 2020. A la saison des migrations, les îles du Finistère assistent à un phénomène singulier. Débarqués de toute la France, des ornithologues s’y réunissent pour « cocher » des espèces rares : des oiseaux de Sibérie ou d’Amérique qui se sont trompés de couloir migratoire. Alertés par les réseaux sociaux des trouvailles réalisées, ils sont de plus en plus nombreux à s’y rendre et peuvent venir de l’autre bout de la France sur un coup de tête pour voir un Traquet isabelle ou un canard américain. SUR LA PHOTO : Arrivée au port de Lampaul de la navette effectuant le trajet entre Le Conquet et Ouessant.
Résumé de la politique de confidentialité
Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.